Mise en forme d’un texte (hiérarchie, habillage, jeux…)

Le texte et la mise en forme

L’information écrite telle que nous la precevons dans la presse répond à des principes strictes et à une certaine rigueur. La mise en forme d’un texte peut être très variée pourvu qu’on y apporte un soin tout particulier. Les blocs, les mots, les lettres sont autant d’objets qui peuvent être manipulés parfois jusqu’à l’extrême.

Ici le texte est brut, sans mise en forme, pas de hiérarchie, c’est à dire aucun relief entre le titre ou le bloc (taille, graisse, corps…), un fer à gauche et un effet de drapeau à droite un peu disgracieux.

 

Maintenant la mise en forme montre bien la hiérarchie, le titre est le sommet de la pyramide d’information, les chapôs marquent le début des blocs (paragraphes)dans deux colonnes séparées par une goutière. L’amorçe (en gras) est précédée par une lettrine (majuscule ou haut de casse) qui marque le début du paragraphe dans un retrait de deux lignes. L’équilibre des espaces des intermots et des interlignes marque le « gris typographique ». La justification (fer ou marge) à gauche et à droite offre une lecture plus fluide et plus aisée. D’une manière générale, éviter des lignes qui n’en finissent pas, souvent le cas sur internet.

 

Ici le texte n’est plus lisible. La mise en forme devient presque de l’illustration.

 

Ici le texte est lisible. La mise en forme vient renforcer le contenu.

 

On peu créer des masques d’écrêtages.

 

On peu redessiner les caractères, c’est aussi une approche pour la conception d’un logo.

 

Ici le texte n’est plus lisible. La mise en forme devient presque de l’illustration.

 

On peut jouer avec les caractères comme avec des objets.

 

On peut jouer avec les caractères comme avec des objets.

 

On peut jouer avec trois caractères comme avec des objets.

 

On peut jouer avec un caractères comme avec des objets.